mardi 6 mars 2007

Une agriculture de production et de qualité

A l'occasion du Salon de l'agriculture, découvrez les propositions de Nicolas Sarkozy pour donner des perspectives à nos campagnes, à l'agriculture et à la pêche.

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Je veux être le Président d’une France qui défendra une agriculture de production et de qualité.
L’agriculture et les industries agroalimentaires sont un atout majeur de notre économie et de la sécurité alimentaire des consommateurs. Je leur donnerai les moyens d’être toujours plus performantes dans l’intérêt de tous les Français.

Je veux une France forte de toutes ses cultures et de tous ses élevages, de tous ses vins et de tous ses terroirs, de ses produits d’excellence, de ses traditions, de sa réputation mondiale.

Je veux aussi une agriculture durable et une France reconnaissante des actions que les producteurs continueront de fournir en faveur de l’environnement. J’améliorerai les retraites des aînés et je soutiendrai les efforts des jeunes.

J’entends redonner à nos exploitants et à nos salariés agricoles des perspectives claires et une réelle visibilité. J’ai la conviction que c’est du fruit de son travail que l’on doit vivre, c’est pourquoi je veux que des prix rémunérateurs soient la première source de revenus des exploitants. Je veux pour vous la liberté que je veux pour tout entrepreneur : j’agirai donc contre une réglementation complexe et en perpétuel changement. Je veux donner à l’agriculture française les moyens d’exploiter les nouveaux débouchés, notamment les biocarburants.

Je veux être le président d’une France qui anticipe et prépare l’avenir de son agriculture.

Je défendrai pied à pied la PAC et nous préparerons ensemble l’après 2013. Je défendrai le principe de préférence communautaire parce qu’il est la condition de l’indépendance et de la sécurité alimentaires des Français et de tous les Européens, ainsi que de la vitalité de nos campagnes. Notre agriculture aura les moyens d’accroître sa présence sur le marché européen élargi et sur les marchés mondiaux, et pourra s’appuyer sur un ministère de l’agriculture renforcé. Je ne veux pas être le président des jachères et des arrachages.

Avec votre aide, je m’engage à ce que vous retrouviez le goût d’entreprendre et la fierté de votre métier.

Je n’accepte pas que l’on ne vous promette qu’une agriculture sous perfusion et que l’on veuille vous réduire à être des jardiniers ruraux. Vous êtes avant tout une force économique : nos campagnes et la France telles que je les conçois ont besoin de vous.

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