mercredi 28 février 2007

La candidate socialiste et l'Education :

Le 15 février à Dunkerque, la candidate socialiste (pourtant ministre délégué à l'enseignement scolaire de 1997 à 2000) a fait mine de découvrir les problèmes de l'éducation. Rien de bien neuf ... si ce n'est l'engagement d'abandonner le deuxième porte-avions. Cherchez l'erreur !

Cette absence de programme n'est pas une raison pour être de mauvaise foi

Selon la candidate socialiste, « la droite, en 5 ans, a détruit 125.000 emplois ». C'est faux. La réalité c'est que 11.600 emplois ont été créés entre 2002 et 2007 dans l'enseignement scolaire, alors même que les effectifs diminuaient de 50.000 élèves pour de simples raisons démographiques.

Selon la candidate socialiste, « la droite a retiré pendant 5 ans tous ses moyens à l'Education ». C'est faux. La réalité c'est que le budget de l'enseignement scolaire a augmenté de 12% entre 2002 et 2007.

Ce n'est pas une raison non plus pour annoncer ce qui existe déjà
  • Organiser des « états généraux du monde enseignant » et des « états généraux de la réussite scolaire ». Ces états-généraux ont déjà été menés entre le 17 novembre 2003 et le 17 janvier 2004 sous l'impulsion de Claude Thélot dans le cadre du Débat national sur l'avenir de l'école. Plutôt que de séparer, comme le fait la candidate socialiste, le monde enseignant et la réussite scolaire, mieux vaut envisager les problèmes dans leur globalité et associer à la réflexion ceux qui sont des usagers du système éducatif. C'est ce qui a été fait avec le Débat national.

  • Libérer l'initiative des enseignants en leur donnant la possibilité d'expérimenter : la loi d'orientation sur l'école, conçue par François Fillon sur la base des résultats du Débat national sur l'avenir de l'école, affirme clairement le principe de la liberté pédagogique et ouvre le droit à l'expérimentation. Le Parti socialiste s'y était alors vivement opposé et avait refusé de voter ce texte.

  • Donner à tous les élèves les mêmes chances de réussite : c'est tout simplement une reprise du programme national de réussite éducative lancé par Jean-Louis Borloo (80.000 enfants en bénéficient aujourd'hui) et des réseaux ambition réussite de Gilles de Robien, dont plus de la moitié des écoles disposent déjà.

  • Revaloriser l'apprentissage : c'est ce qu'a fait Jean-Louis Borloo en rendant cette filière bien plus attractive pour les jeunes. Résultat : une multiplication par deux du nombre d'apprentis -380.000 fin 2006, et un objectif de 500.000 fin 2007- et une perception ultra-positive de cette filière par les jeunes -95% jugent que c'est la meilleure filière pour trouver un emploi selon un sondage IFOP de septembre 2006-.

mardi 27 février 2007

Pour une immigration choisie

La France a toujours su s'ouvrir au monde pour accueillir et intégrer des populations nouvelles. Pour donner à cette immigration le visage de la dignité, il faut que celle-ci soit maîtrisée et régulée.
C'est tout le sens de l'action au ministère de l'Intérieur de Nicolas Sarkozy pour faire passer notre pays d'une logique d'immigration subie à celle d'une immigration choisie.

En s'opposant à la logique de régularisation massive et automatique défendue par les socialistes, Nicolas Sarkozy a souhaité démontrer qu'il était possible et nécessaire de concilier fermeté et justice.

Pour que la France inscrive cette nouvelle logique d'immigration choisie dans son histoire, Nicolas Sarkozy propose de :
  • Conditionner l'immigration à la possibilité de trouver un emploi
    • En favorisant par exemple, la venue des meilleurs professionnels dont la France a besoin.

  • Limiter l'accueil des migrants en établissant des plafonds annuels d'immigration
    • En étant plus rigoureux sur les conditions d'autorisation des regroupements familiaux afin de garantir que la famille accueillie puisse vivre en France des fruits du travail.

  • Maîtriser l'immigration par le développement
    • En relançant par exemple la coopération grâce au service civique obligatoire et en réorganisant la politique d'aide au développement pour la rendre plus efficace.

« Je n'accepte pas qu'on veuille habiter en France sans respecter et sans aimer la France, je n'accepte pas qu'on veuille s'installer en France sans se donner la peine de parler et d'écrire le français » Nicolas Sarkozy-14 janvier- Porte de Versailles

lundi 26 février 2007

L'autorité, qui ose encore en parler ?

Dans son discours de Perpignan, Nicolas Sarkozy a osé aborder un sujet devenu étrangement tabou en politique : celui de l'ordre et de l'autorité.

Il a dénoncé les conséquences pour la France des dérives de tous ceux qui ont combattu l'idée même d'autorité.
« A bas l'autorité ! Cela voulait dire : désormais tout se vaut. Le bien comme le mal, la grandeur comme la bassesse, le vrai comme le faux, le beau comme le laid. Tout se vaut : la parole de l'élève vaut celle de l'instituteur. Une émission de variétés vaut une pièce de Racine. L'intérêt particulier vaut l'intérêt général. Le délinquant vaut la victime .... »

Pour Nicolas Sarkozy, il ne faut pas confondre autorité et autoritarisme. Il a plaidé pour le rétablissement :
  • de l'autorité de la famille et des parents,
  • de l'autorité de la République et de l'Etat,
  • de l'autorité de l'Ecole et des enseignants.

    L'autorité est le fondement de l'ordre.
    « L'ordre, c'est quand l'autorité du maître est respectée, c'est quand l'école apprend à l'enfant à faire la différence entre le bien et le mal, à distinguer ce qui est vrai de ce qui est faux, à apprécier ce qui est beau et ce qui est grand.
    L'ordre, c'est quand la loi est la même pour tous, quand le crime est puni et le mérite récompensé.
    L'ordre, c'est quand la victime compte plus que le délinquant. C'est quand le travail paye plus que l'inactivité, quand on cesse de s'appauvrir en travaillant et de s'enrichir en spéculant.
    L'ordre, c'est quand le capitalisme est régulé, quand la concurrence est loyale, c'est quand l'entrepreneur est davantage valorisé que le prédateur, c'est quand les gains sont équitablement répartis entre le capital et le travail, c'est quand le dialogue prévaut sur la violence, c'est quand personne n'est obligé de descendre dans la rue pour faire valoir son point de vue, c'est quand les usagers ne sont pas pris en otages par les grévistes, c'est quand chacun peut circuler sans craindre de se faire agresser. »


    Il a aussi rappelé que le désordre issu de la culture permissive de Mai 68 frappait aussi, et avant tout, les plus faibles.
    « L'immigration clandestine, le travail au noir, la fraude, la défaillance de l'école, la délinquance, le chômage, la concurrence déloyale, ce sont des désordres dont les victimes sont d'abord dans les quartiers défavorisés, dans les familles de milieux modestes, chez ceux qui sont les moins qualifiés, chez ceux qui prennent les transports en commun pour aller travailler. L'ouvrier, c'est le premier que l'on agresse, c'est le premier dont on brûle la voiture, c'est le premier qui se retrouve au chômage quand la concurrence chinoise attaque le marché européen à coups de dumping monétaire, social et écologique et quand le travail au noir lui prend son emploi. »
  • dimanche 25 février 2007

    La vision européenne de Nicolas SARKOZY


    A Strasbourg, capitale de l'Europe, Nicolas SARKOZY a été accueilli dans un parc des expositions du Wacken rempli à rabord avec plus de 7 000 personnes, les militants et sympathisants s'étant déplacés en grand nombre pour assister à ce meeting de leur candidat.

    Venu des quatre coins du grand Est et mené par des centaines de jeunes, un public gonflé à bloc attendait le candidat de l'UMP au tournant : celui de l'Europe.

    Une Europe avec une identité et des frontières, une Europe qui agit concrètement, une Europe qui protège ses intérêts et ses peuples dans la mondialisation.

    L'Europe traverse une crise qui doit être résolue sans attendre, car l’Europe à 27 ne peut pas fonctionner comme l’Europe à 6. Nous devons cesser de faire de l'Europe le bouc émissaire de tous nos malheurs, mais au contraire cette construction voulue par nos pères pour éviter les guerres continentales doit devenir notre meilleure protection contre les dérives de la mondialisation. Les Français ont dit non à la Constitution Européenne parce qu'ils avaient le sentiment que l'Europe ne les protégeait plus.

    Nicolas Sarkozy propose pour débloquer l'Europe :
    • la mise en place d'un gouvernement économique européen qui ait son mot à dire sur la politique monétaire et sur la politique de change,

    • une politique européenne commune de maîtrise de l'immigration,

    • que l'Europe devienne l'outil principal de la lutte contre les dumpings et les abus de concurrence,

    • de repenser la Politique Agricole Commune avec l'objectif de garantir l'indépendance alimentaire du continent, mais aussi la sécurité sanitaire, le respect de l'environnement et un revenu décent pour nos agriculteurs.

    Il faut refonder l'Europe économique, sociale et culturelle ce qui implique de sortir du blocage politique actuel. Nicolas Sarkozy veut sortir au plus vite des blocages institutionnels actuels par la mise au point d'un traité simplifié qui reprendra les dispositions du traité constitutionnel qui ne faisaient pas grief et sera proposé à l'adoption du Parlement français.

    Lire le discours de Nicolas SARKOZY sur l'EUROPE au format pdf en cliquant ici.
    La vidéo du discours sur le site sarkozy.fr

    samedi 24 février 2007

    Vidéos du meeting de Strasbourg

    Quelques images de ce grand moment avec des vidéos militantes plus parlantes qu'un long texte :

    Vidéo réalisée par Damien OSWALD :



    Strasbourg Totale
    envoyé par doswald


    Vidéo réalisée par Jonathan Labialle : l'entrée de N. Sarkozy et le chant de la
    Marseillaise .





    mercredi 21 février 2007

    Il faut reconnaître, respecter et soutenir chaque famille


    La famille est une priorité pour Nicolas Sarkozy qui la définit comme le lieu où se construisent le respect, la liberté, la sécurité au service de l'épanouissement de chacun de ses membres.
    Il propose de mieux aider et responsabiliser les familles dans l'exercice de l'autorité parentale.

    Afin d'encourager la natalité, il propose la mise en place d'une allocation familiale dès le premier enfant.
    Pour garantir le cadre de vie des familles, l'accession au logement et à la propriété doit être favorisée et encouragée par tous les moyens.
    Nicolas Sarkozy s'engage, par exemple, à supprimer les cautions pour l'accès au premier logement en particulier des plus jeunes.


    Afin de permettre une meilleure organisation des familles, Nicolas Sarkozy s'engage aussi à rendre opposable le droit de toute famille à bénéficier d'un mode de garde adapté pour les jeunes enfants.

    Il souhaite aussi que l'Ecole puisse jouer tout son rôle éducatif au côté des parents et propose par exemple que les collèges puissent offrir après les cours un système de garde et d'aide au devoir qui garantisse aux parents qui travaillent l'assurance de savoir leurs enfants pris en charge.
    « L'enfant qui n'apprend à l'école ni la morale, ni l'instruction civique ne comprendra pas plus tard qu'être citoyen ne signifie pas seulement avoir des droits »
    Nicolas Sarkozy à Paris Porte de Versailles le 14 janvier 2007.

    mardi 20 février 2007

    Notre défense, une priorité

    Le monde dans lequel nous vivons n'a jamais été aussi changeant et instable. Et notre pays doit rester au rendez-vous de ses engagements au service de la paix et de la sécurité en Europe et dans le monde.

    Nicolas Sarkozy s'engage clairement à ne pas relâcher notre effort de défense dont le redressement est amorcé depuis 2002, après les coupes sombres du gouvernement Jospin. Voici les mesures phares proposées par Nicolas SARKOZY :
    • Conforter la politique européenne de défense et de sécurité.
    • Poursuivre la transformation de notre outil de défense pour mieux répondre à nos besoins de sécurité (protection du territoire), mieux appuyer nos armées dans l'accomplissement de leurs missions (protection de nos soldats engagés sur des théâtres extérieurs et revalorisation de la condition militaire), faire face aux nouveaux défis (espace, renseignement, transports stratégiques), améliorer l'efficacité de la dépense et la maîtrise des programmes d'armement.
    • Recentrer au maximum les effectifs militaires sur leur coeur de métier, à savoir les missions opérationnelles, en accélérant la modernisation des fonctions de base et de soutien.
    • Instaurer auprès du Président de la République un Conseil de sécurité nationale.
    • Impliquer davantage le Parlement dans la définition et la mise en oeuvre de notre politique de défense (dans une démocratie moderne, il n'y a pas de domaine réservé).

    lundi 19 février 2007

    Le pouvoir d'achat

    Le problème de la France aujourd’hui c’est que les salaires sont trop bas et que les prix sont trop élevés. Le pouvoir d’achat est au cœur des préoccupations de Nicolas Sarkozy. Pour cela il s’engage à :
    • Augmenter la rémunération des heures supplémentaires, en faisant que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales.
    • Faire que ces heures supplémentaires soient exonérées de toutes charges sociales et fiscales, et faire ainsi qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises
      • Par exemple quatre heures de travail en plus par semaine, équivaudrait ainsi immédiatement à 1980 euros de plus pour un salarié rémunéré au SMIC sur une année
    • Rendre notre économie plus dynamique, plus prospère, afin de favoriser l’embauche
    • Se refuser à augmenter les impôts, afin que chacun puisse bénéficier du surplus de pouvoir d’achat.
    • Notre programme est contraire à celui des socialistes qui veulent étendre les 35 heures à toute la France, alors que nous, souhaitons proposer à tous de pouvoir travailler plus pour gagner plus.

    jeudi 15 février 2007

    Pour une révolution écologique

    Nous voulons en une génération résoudre les principaux problèmes écologiques de la France. Pour cela voilà nos engagements, nous :
    • Mettrons l’écologie au cœur des décisions publiques, notamment en créant un grand ministère du développement durable, confié à un ministre d’Etat
    • Lancerons un programme européen de recherche sur les nouvelles énergies
    • Réduirons la fiscalité sur le travail, appliquerons le principe de pollueur-payeur et doublerons la fiscalité écologique
    • Rendrons l’écologie accessible à tous en appliquant une TVA à taux réduit sur tous les produits propres.
    • Mettrons en place une société de modération et développerons par exemple l’isolation des bâtiments anciens.

    mercredi 14 février 2007

    Meeting de Nicolas SARKOZY à STRASBOURG


    Les Amis de Nicolas SARKOZY du Bas-Rhin ont le plaisir de vous inviter pour le plus grand évènement de ce début de campagne présidentielle en Alsace :
    Le MEETING REGIONAL de
    Nicolas SARKOZY
    Mercredi 21 février 2007
    à 18h30

    Parc des Expositions Wacken Hall 20
    67000 STRASBOURG

    Le discours que le président de l'UMP prononcera à cette occasion dans la capitale parlementaire européenne sera fortement axé sur l'Europe.

    Nicolas Sarkozy veut s'ouvrir à toutes les forces qui désirent réformer le pays en profondeur. N' hésitez pas à venir accompagnés de vos proches, amis ou connaissances! Venez nombreux !.

    mardi 13 février 2007

    "Je suis le candidat du travail"

    Nicolas Sarkozy a présenté dans le Figaro du mercredi 31 janvier et au cours d'une interview sur Europe 1 avec Jean-Pierre Elkabbach, son projet pour la France.

    Nous vous proposons aujourd'hui quelques extraits de l'interview du Figaro.

    « Au premier rang, je mettrai la valeur du travail, dont l'oubli résume à mes yeux toute la crise morale française ... Je veux être le candidat du travail. C'est ma cohérence et le ciment de mon projet ...

    La deuxième valeur est le respect ...
    Enfin il y a la valeur de la responsabilté. Je considère qu'il n'existe pas de droit sans contrepartie. »

    « Si je suis élu, j'instaurerai le service minimum, la liberté syndicale et le vote à bulletins secrets pour empêcher les piquets de grève. »

    « Je poserai également la question de la revalorisation des petites retraites. Celles, par exemple, des trois millions d'artisans, de commerçants et d'agriculteurs. »

    « J'ai proposé 68 milliards de réduction des prélévements obligatoires. C'est un objectif que l'on peut raisonnablement tenir en deux législatures… »

    « Je veux que l'Europe se dote systématiquement d'un taux de TVA réduit sur les produits propres. »

    lundi 12 février 2007

    Un programme budgétaire et fiscal,responsable et courageux



    Parce que nous croyons en l'esprit d'entreprise, parce que nous voulons revaloriser l'effort et le travail, parce que nous entendons gérer les finances de la France de façon responsable, voici quelques engagements de Nicolas Sarkozy :

  • Nous engagerons des réformes pour améliorer l'efficacité et la productivité de l'État, avec comme objectif un gain annuel de 2 % de productivité soit 18 milliards d'euros d'économies.

  • Nous réduirons l'endettement public (le ramenant à 60% de la dette en 2012) et nous inscrirons dans la constitution l'interdiction du financement des dépenses publiques courantes par l'emprunt, celui-ci ayant vocation à financer les seules dépenses d'investissement.

  • La candidate du PS ne propose rien pour réduire l'endettement public. Au contraire le programme du PS prévoit 49 milliards de dépenses nouvelles, dont 18 milliards financés par des impôts supplémentaires et 31 milliards sans financement... qui creuseront donc d'autant le déficit et la dette pesant sur les épaules de la jeunesse et des générations futures.

  • L'objectif à terme doit être de réduire de 4 points les prélèvements obligatoires pour ramener la France dans la moyenne des pays européens, ce qui reviendra à rendre près de 68 milliards d'euros aux Français, priorité devant être donnée à l'allègement des prélèvements sur le travail.

  • Monsieur Hollande lui déclare que le Parti socialiste souhaite revenir sur les baisses d'impôts pour les ménages qui gagnent plus de 4 000 euros par mois et augmenter la CSG payée par tous.

  • La différence entre la gauche et la droite est claire : la droite ne renonce pas à l'objectif d'un allègement du poids des prélèvements obligatoires pour revaloriser le travail, améliorer le pouvoir d'achat, restaurer la capacité concurrentielle de nos entreprises et relancer l'%E
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