vendredi 30 mars 2007

Le Projet de Nicolas SARKOZY

Nicolas SARKOZY a dévoilé son projet présidentiel. Intitulé "Ensemble tout devient possible", il a été publié sous la forme d'un fascicule de 16 pages tiré à 8 millions d'exemplaires.



Il y détaille 15 engagements pour réformer la France :

- Mettre fin à l'impuissance publique
- Une démocratie irréprochable
- Vaincre le chômage
- Réhabiliter le travail
- Augmenter le pouvoir d'achat
- L'Europe doit protéger dans la mondialisation
- Répondre à l'urgence du développement durable

- Permettre à tous les Français d'être propriétaires de leur logement
- Transmettre les repères de l'autorité, du res
pect et du mérite
- Une école qui garantit la réussite de tous les élèves
- Mettre l'enseignement supérieur et la recherche au niveau des meilleurs mondiaux
- Sortir les quartiers difficiles de l'engrenage de la violence et de la relégation
- Maîtriser l'immigration

- De grandes politiques de solidarité, fraternelles et responsables
- Fiers d'être français


Ce projet est introduit par une lettre aux Français :

"Mes chers concitoyens

Je veux être le président de la République qui réformera la France. S'il veut rester lui-même, notre pays a besoin de changements profonds. Je veux être le président de la République qui tiendra ses engagements. C'est pourquoi je veux vous dire aujourd'hui tout ce que, demain, nous ferons ensemble. La France traverse une crise moral : celle du travail. La réhabilitation du travail est au coeur de mon projet présidentiel. Je ne vous mentirai pas, je ne vous trahirai pas. Je ne me déroberai pas. Je vous demande votre confiance pour qu'ensemble tout devienne possible."

Nicolas Sarkozy

jeudi 29 mars 2007

Hugues HEINRICH : "Je soutiens Nicolas SARKOZY"

Je soutiens Nicolas SARKOZY.

On m’a légitimement interrogé sur mon positionnement politique personnel. Alors voilà.

A quelques semaines du premier tour, j’ai choisi de soutenir, très volontairement et sans détour ni contrepartie, la candidature de Nicolas SARKOZY aux prochaines élections présidentielles.

Ce choix est, au fond, tout à fait naturel. Tout simplement parce que je crois aux valeurs que son programme propose de mettre en œuvre et parce que sa personnalité est celle dont notre Nation a besoin à la Présidence.


Je crois, en effet,
que la recherche de compétences doit prévaloir dans nos choix électoraux,

que le pragmatisme et l’efficacité doivent trouver toute leur place dans l’action politique,

que la détermination et le courage sont indispensables à l’exercice des responsabilités publiques,
que faire de la politique c’est créer un élan et porter un espoir, c’est montrer le chemin,
que nous pouvons marcher avec foi plutôt que subir,

que la solidarité envers les vrais nécessiteux est utile mais que seul le travail est vertueux,

que le temps du renoncement et de la fuite face aux défis est terminé.


J’ai, par conséquent, rejoint le comité officiel de soutien à Nicolas SARKOZY.



mercredi 28 mars 2007

Le seul candidat qui améliore les finances publiques


Nicolas Sarkozy, seul candidat à améliorer les finances publiques

L’Institut Rexecode, premier centre français d’analyse et de prévisions macroéconomiques indépendant des pouvoirs publics, a rendu public le deuxième volet de son analyse des programmes économiques de Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et François Bayrou.

L’Institut Rexecode, premier centre français d’analyse et de prévisions macroéconomiques indépendant des pouvoirs publics, a rendu public mercredi 28 mars le deuxième volet de son analyse des programmes économiques de Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et François Bayrou. Sa conclusion est sans appel : les propositions de Nicolas Sarkozy sont les seules à améliorer les finances publiques.


I. La politique dépensière de Ségolène Royal augmentera la dette publique de plus de 100 milliards d’euros.

1. Le programme de Ségolène Royal entraînera une véritable explosion des dépenses publiques (50 milliards de dépenses supplémentaires : emplois aidés, SMIC à 1 500 euros, multiplication incohérente des allocations et des aides, etc.). Les deux tiers de ces nouvelles dépenses ne seront pas couvertes par des économies correspondantes, ce qui aboutira à un solde négatif de 35 milliards d’euros.

2. Les propositions de Ségolène Royal accroîtront considérablement le niveau de la dette. Celle-ci augmentera de plus de cinq points en cinq ans et s’élèvera à près de 70% du PIB (contre 64,6% aujourd’hui), soit plus de 100 milliards d’euros de dette en plus d’ici 2012.

II. François Bayrou dit, mais ne fait pas : son programme dépense plus qu’il n’économise et creuse lui aussi la dette.


1. François Bayrou a déclaré qu’il ne prendrait « aucun engagement qui ne soit financé par une économie correspondante » (proposition « dette et déficits » sur www.bayrou.fr), mais son programme comprend en réalité 15 milliards de nouvelles dépenses publiques qui ne seront compensées ni par des économies équivalentes (la modernisation de l’Etat que François Bayrou entend mettre en œuvre sera limitée aux effectifs des administrations centrales et ne permettra que de modestes économies), ni par les augmentations d’impôts qu’il a annoncées (dont neuf milliards d’euros pour la concentration des allègements de charges, une mesure au surplus dramatiquement pénalisante pour l’emploi).

2. Avec François Bayrou, la dette s’aggravera durant les cinq prochaines années. Elle atteindra 65,7% du PIB en 2012, ce qui concrètement signifie 20 milliards d’euros de dette en plus, alors que François Bayrou déclare pourtant que « l’urgence est d’abord de stabiliser la dette » (livre-programme Projet d’espoir) et qu’il s’est engagé à la réduire à maintes reprises.

III. Le programme de Nicolas Sarkozy mettra fin à 25 ans de dégradation des finances publiques.


1. Au contraire de celui de François Bayrou et de S. Royal, le programme de Nicolas Sarkozy affiche un solde positif, l’ensemble des dépenses nouvelles (31,7 milliards d’euros) étant financé par des économies sur des dépenses existantes (32 Mds d’euros). Seul Nicolas Sarkozy a eu le courage de s’engager sur plusieurs mesures d’économies (non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, franchise sur les actes médicaux, alignement des régimes spéciaux de retraite, suppression des dispositifs de cessation anticipée d’activité, révision générale des programmes).

2. Parmi les dépenses nouvelles figurent au surplus des dépenses fiscales, c’est-à-dire des réductions d’impôts. Cette baisse des impôts, équivalente à 12 milliards d’impôts, bénéficiera directement à la croissance économique, à l’emploi et au pouvoir d’achat des Français (détaxation des heures supplémentaires, exonération des droits de succession, réforme de l’ISF et bouclier fiscal, crédits d’impôt pour l’environnement, la recherche et les PME).

3. Grâce à ce programme, Nicolas Sarkozy est le seul candidat à stabiliser la dette à son niveau actuel (64%). [NB : le programme de l’UMP annonce un objectif de dette de 60% du PIB, mais en retenant une hypothèse de croissance légèrement supérieure].

4. Au surplus, ces résultats ne prennent pas en compte les effets sur la croissance économique et l’emploi des trois programmes. En intégrant cette donnée, les propositions de Nicolas Sarkozy font baisser la dette, alors que celles de François Bayrou et de Ségolène Royal continuent de l’accroître. La première analyse comparative de Rexecode a en effet montré que les propositions économiques de Nicolas Sarkozy créeront 200 000 emplois et accélèreront de plus d’un point la croissance, alors que celles de Ségolène Royal et François Bayrou augmenteront le chômage et réduiront la croissance.

Les deux études de Rexecode soulignent ainsi la cohérence et la pertinence du programme de Nicolas Sarkozy, qui est le seul à proposer aux Français les mesures indispensables pour mettre fin à la dégradation de nos finances publiques, atteindre le plein emploi et augmenter durablement le pouvoir d’achat.

mardi 20 mars 2007

Le candidat de la Croissance et de l'Emploi


Nicolas Sarkozy, le seul candidat de la croissance et de l'emploi
L’institut d’analyse économique Rexecode vient de publier une étude comparative sur les programmes économiques des trois principaux candidats à l’élection présidentielle.

L’institut d’analyse économique Rexecode vient de publier une étude comparative sur les programmes économiques des trois principaux candidats à l’élection présidentielle. Après une évaluation de l’impact des propositions de Nicolas Sarkozy , de Ségolène Royal et de François Bayrou, le premier centre français d’analyse et de prévision macroéconomiques indépendant des pouvoirs publics en conclut que les propositions du candidat de l’UMP sont les seules à créer de l’emploi et de la croissance.

Cette analyse a été rendue publique quelques jours après le soutien officiel d’Olivier Blanchard, qui compte parmi nos économistes les plus réputés. Celui qui est considéré comme nobélisable affirmait le 13 mars dernier, qu’après avoir voté socialiste pendant des années, il voterait personnellement pour Nicolas Sarkozy.

Ségolène Royal détruit des emplois et de la croissance.

1. Le programme économique de S. Royal aboutit à des destructions d’emplois, 230 000 au total, essentiellement dans les petites et moyenne entreprises et parmi les travailleurs peu qualifiés. La hausse du SMIC à 1 500 euros fera perdre 50 000 emplois et la suppression du contrat nouvelles embauches (CNE) 30 000 emplois. En outre, la généralisation des 35 heures à l’ensemble des PME, inscrite dans le projet du parti socialiste, jamais explicitement reniée par S. Royal, entraînera la disparition de 150 000 emplois supplémentaires.

2. Ces mesures réduiront très nettement notre taux de croissance, de 1,4 point.

3. A plus long terme, les mesures de S. Royal affaibliront considérablement la compétitivité des entreprises françaises et auront donc des effets encore plus néfastes sur l’emploi et la croissance.

Le programme de F. Bayrou détruit également des emplois dans les PME et entrave leur croissance.

1. Deux des mesures du programme de F. Bayrou auront des effets positifs, mais limités. Le droit de créer deux nouveaux emplois sans charges pendant cinq ans créera 90 000 nouveaux emplois, soit un total très inférieur à celui qu’annonce F. Bayrou (« plusieurs centaines de milliers d’emplois ») et très faible par rapport au coût de la mesure (7,4 Mds d’euros). La rémunération des heures supplémentaires 35% de plus que les heures normales et la réduction de leur taux de cotisations patronales (pour que les entreprises ne supportent aucun coût supplémentaire) créeront 80 000 emplois, soit beaucoup moins que pour la mesure du même type proposée par N. Sarkozy (160 à 200 000), principalement parce qu’il manque la forte incitation pour les employeurs.

2. Surtout, la concentration des exonérations de charges sur les PME et sur les salaires en dessous de 1,3 SMIC (fin des allègements pour les grandes entreprises et pour les salariés rémunérés entre 1,3 SMIC et 1,6 SMIC dans les PME) conduira à une forte augmentation du coût du travail et à la disparition de 230 000 emplois.

Au total, le programme de F. Bayrou détruira 60 000 emplois, avec comme principales victimes les petites et moyennes entreprises (ce sont elles qui ont le plus de salariés concernés par les allègements de charges pour les personnes rémunérées entre 1,3 et 1,6 SMIC). En outre, un nouveau « effet de seuil » sera créé : en provoquant une hausse brutale du coût du travail au moment où une entreprise passe du statut de PME à celui de « grande entreprise » (perte des allègements de charges), le programme Bayrou crée un obstacle supplémentaire au développement de nos PME en champions nationaux.

3. Les effets de ses mesures freineront sensiblement la croissance, avec une baisse de 0,2 à 0,5 point.

Le programme de N. Sarkozy créera 200 000 emplois et augmentera de plus d’un point la croissance.

1. La mesure de N. Sarkozy rémunérant les heures supplémentaires 25% de plus que les heures normales et les exonérant de charges fiscales et sociales conduira les entreprises à augmenter la durée du travail et à embaucher sur de nouveaux postes du fait de la réduction du coût global du travail induite. Elle créera de 160 000 à 200 000 emplois (soit au moins le double des créations d’emplois de la mesure de F. Bayrou).

2. Elle entraînera une forte hausse de la croissance, entre 1 et 1,3 point de PIB, soit le point qui nous manque depuis tant d’années.

Il est à noter que cet examen des programmes des candidats s’en est tenu à une analyse de court terme et n’a pas pris en compte les autres mesures structurelles de notre programme (enseignement supérieur, recherche, innovation, développement des PME, baisse de la fiscalité, maîtrise des finances publiques, réforme du marché du travail…) dont les effets sur la croissance et l’emploi seront évidemment massifs.

vendredi 16 mars 2007

Avec les Amis de Nicolas SARKOZY, ensemble tout devient possible !


Depuis 1981 la politique sociale et économique menée par nos gouvernements, de gauche bien sûr, mais également de droite, est celle du nivellement, de l’assistanat.

Un homme politique en a pris conscience, a eu le courage de reconnaître notre renoncement aux valeurs essentielles du respect, du travail, de la reconnaissance de la patrie qui restent les bases du développement d’un pays et s’est engagé à combattre la politique d’immobilisme qui menace la France. Cet homme, c'est Nicolas SARKOZY.

Une politique juste, égalitaire mais pas égalitariste : celui qui travaille plus doit gagner plus. La promotion sociale doit réapparaître comme un objectif à atteindre. La justice, la sécurité doivent passer sans faiblesse, sans laxisme. Les Français n’acceptent plus de négocier avec ceux qui ne respectent pas les règles républicaines de notre pays.

Nicolas SARKOZY a prouvé que, malgré les difficultés, il relevait les défis avec courage et lucidité, il a prouvé que l’on pouvait faire la politique pour laquelle on a été élu. Il incarne l’espoir et la preuve que la fatalité n’existe pas. Les choses peuvent et doivent changer si nous nous en donnons les moyens. Nous avons besoin d’un homme qui redonne confiance aux Français sur un projet de société mobilisateur.

Nicolas SARKOZY doit être ce rassembleur, une dynamique de victoire est née autour de lui. A nous d’entretenir, transmettre et développer cet élan en faisant équipe avec Nicolas SARKOZY et les Français de toutes sensibilités qui veulent redonner Force et Respect à la France.

.

Pour une France juste, entreprenante, réaliste
Associons nos forces et nos idées

Ensemble tout devient possible !

REJOIGNEZ L'ASSOCIATION NATIONALE DES AMIS DE NICOLAS SARKOZY



jeudi 15 mars 2007

Les Amis de Nicolas SARKOZY dans le Bas-Rhin


Association officielle de soutien, l'ANANS 67 s’est fixé comme objectif de défendre et diffuser les idées de Nicolas Sarkozy. Emanation de la société civile, elle a pour ambition de rallier de nouveaux partisans à la cause de Nicolas Sarkozy, car pour remporter la victoire à cette élection présidentielle, il faut dépasser très largement les limites de sa famille politique d'origine et rassembler les Françaises et les Français autour de son projet et de sa candidature, au-delà des étiquettes politiques et des vieux clivages.

L'ANANS souhaite démontrer aux électeurs, quelles que soient leurs idées politiques de départ, que Nicolas Sarkozy est le seul candidat à même de réunir l’ensemble des Français autour d’un projet rassembleur et rénovateur pour le pays.
Notre démarche se veut animée d'une vision pragmatique pour construire ensemble un avenir meilleur.

L'ANANS est représentée dans le Bas-Rhin par ses Délégués Départementaux Frédéric HUSS, Frédérique LOUTREL et Damien OSWALD, qui sont entourés par une équipe départementale jeune et dynamique. L'ANANS 67 travaille sur le terrain en étroite synergie avec l'UMP du Bas-Rhin, pour contribuer activement à la victoire de Nicolas SARKOZY.


Contactez les Délégués Départementaux :











Frédérique LOUTREL
Déléguée Départementale de l'ANANS 67
Présidente du Comité de Soutien de Strasbourg

frederique.loutrel@yahoo.fr












Damien OSWALD

Délégué Départemental de l'ANANS 67

d.oswald@evc.net












Frédéric HUSS
Délégué Départemental de l'ANANS 67

frederic-huss@aliceadsl.fr






mercredi 14 mars 2007

L'ANANS 67 accueille Nicolas SARKOZY


Lors de son meeting à Strasbourg le 21 février 2007, Nicolas SARKOZY a été accueilli par les responsables locaux de l'ANANS du Bas-Rhin, notamment par Frédérique LOUTREL, Présidente du Comité de Soutien de Strasbourg et candidate aux élections législatives.

Nicolas SARKOZY a encore une fois réaffirmé son soutien à Frédérique LOUTREL et lui a renouvelé ses encouragements pour sa candidature aux élections législatives dans la 1ère circonscription de Strasbourg :

"Il est temps de tourner la page. Frédérique incarne cette nouvelle génération talentueuse qui saura préparer au mieux la France de demain. Je lui fais totalement confiance pour qu'ensemble tout devienne possible"
Nicolas SARKOZY


mardi 13 mars 2007

Qu'est-ce que l'ANANS ?



L'Association Nationale des Amis de Nicolas SARKOZY ou ANANS a été créée en 2004 par Monsieur Bernard DESCOTTES, grand chirurgien français, et n'a qu'un seul but depuis: celui de soutenir et promouvoir l'action, le projet et l'image de Nicolas SARKOZY dans sa fonction présidentielle. C'est la seule association (devenue depuis mouvement à caractère politique) qui est reconnue, soutenue et voulue par Nicolas Sarkozy. Il est important de signaler ici que nous évoluons dans la sphère politique en totale indépendance mais que nous travaillons bien sûr en partenariat avec l'UMP sur le terrain.

La structure nationale de l'ANANS se compose d'un bureau exécutif, qui nomme et supervise des responsables régionaux, nommant et gérant à leur tour des responsables départementaux. Ces derniers nomment et aident sur le terrain des responsables de comités locaux. A ce jour, l'Association Nationale des Amis de Nicolas Sarkozy compte plusieurs milliers de membres en son sein pour soutenir Nicolas Sarkozy.

dimanche 11 mars 2007

Le livre noir des régions socialistes

Sous l'impulsion de Roger KAROUTCHI, sénateur des Hauts-de-Seine, Président du groupe UMP du Conseil Régional d'Ile-de-France vient d'être publié le Livre noir des régions socialistes qui dresse le bilan de deux années de gestion.

Hausse des impôts régionaux, hausse des dépenses de fonctionnement, baisse des crédits d'investissement : le constat est sans appel.

La gestion des régions socialistes repose sur « un véritable culte de la dépense publique. » Selon Roger KAROUTCHI, pour qui, « si Ségolène Royal gère la France comme elle le fait en Poitou-Charentes, les Français peuvent s'attendre à de fortes hausses des impôts ».

Alors que Mme Royal s'appuie dans le cadre de sa campagne sur « des régions qui marchent pour faire marcher la France », le constat global de la gestion des régions par les socialistes est accablant. C'est ce que montre ce document de 144 pages qui examine à la loupe la gestion des vingt régions métropolitaines dirigées depuis 2004 par le PS.

Depuis 2002, les gouvernements de Jean-Pierre RAFFARIN et de Dominique de VILLEPIN se sont efforcés de redresser la situation économique de la France laissée exangue par cinq années de politique de gauche coûteuse, inefficace et démagogique.

La gestion socialiste prouve, s'il en était besoin, que les bonnes vieilles méthodes de la gauche produisent toujours les mêmes effets : toujours plus d'impôts et de dépenses publiques - toujours plus de frais de fonctionnement (communication, recrutements de personnels) pour toujours moins de résultats.

Si vous avez envie d'en savoir plus sur la gestion calamiteuse des vingt régions aux mains du Parti socialiste depuis 2004, consultez et lisez le Livre noir des régions socialistes. Vous ne serez pas déçu...

Présentation vidéo par Roger Karoutchi

Avant-propos de Roger Karoutchi

Version complète

Aquitaine
Auvergne
Basse-Normandie
Bourgogne
Bretagne
Centre
Champagne-Ardenne
Franche-Comté
Ile-de-France
Languedoc-Roussillon
Limousin
Lorraine
Midi-Pyrénées
Nord-Pas-de-Calais
Haute-Normandie
PACA
Pays de la Loire
Picardie
Poitou-Charentes
Rhônes-Alpes

Conclusion


samedi 10 mars 2007

Pour une intégration réussie

Un ministère de l’immigration et de l’identité nationale
pour une intégration réussie

Nicolas Sarkozy a annoncé hier soir qu’il entendait créer, s’il était élu, un ministère de l’immigration et de l’identité nationale. Nous regrettons la tentative de polémique que semble vouloir instaurer à ce sujet le Parti socialiste.

Il est essentiel que la même autorité dispose de tous les principaux leviers de la politique française de l’immigration, actuellement éclatés entre trop de ministères.

Le terme d’identité nationale dont semble s’offusquer M. Hollande n’a rien de choquant. La France est un Etat-Nation. Faire référence à l’existence d’une identité nationale, c’est reconnaître qu’il existe une identité et une culture française, reposant sur des principes forts : les droits de l’homme et le respect de la République.

Etablir un lien entre l’immigration et l’identité nationale est tout aussi nécessaire qu’opportun. Nous pensons, en effet, qu’il ne peut y avoir d’immigration réussie sans intégration, et pas d’intégration sans connaissance et respect des valeurs de la République française. Affirmer que ceux qui souhaitent entrer et résider sur notre territoire doivent, pour réussir leur parcours et vivre une intégration épanouie, apprendre le français et partager un socle de principes intangibles, comme la laïcité, l’égalité entre les hommes et les femmes ou le respect des libertés et des droits fondamentaux n’a rien de choquant.

Affirmer que la France ne doit accueillir que les migrants qui parlent et écrivent le Français, aiment la France, respectent ses valeurs est aussi fondamental que de reconnaître que l’identité française s’enrichit avec l’arrivée de nouveaux migrants. En même temps le respect de l’identité nationale est la condition d’une intégration réussie

mercredi 7 mars 2007

Lutte contre les injustices :

Mes Chers Concitoyens, je veux être le Président qui lutte contre les injustices.

Beaucoup d’entre vous vivent des injustices inacceptables :

  • L’injustice du travail, qui ne paie pas plus que l’assistanat.
  • L’injustice à l’école, quand la réussite est différente selon son milieu social.
  • L’injustice à l’université, pour tous ceux que l’on pousse sans les prévenir dans des filières sans débouchés.
  • L’injustice de la formation professionnelle, dont les chômeurs et les moins diplômés sont exclus.
  • L’injustice du logement, quand les aides sont les mêmes quel que soit le montant du loyer.
  • L’injustice des discriminations, pour tous ceux qui sont jugés sur leur origine et non pas sur leurs compétences.
  • L’injustice selon les territoires, quand on n’a pas les mêmes chances à la campagne et à la ville.

Dans la société que je défends, toutes ces injustices n’ont pas leur place.

C’est pour cela que je veux que l’on fasse plus pour ceux qui ont moins. Que la réussite soit le résultat de ses efforts et non de ses origines.

C’est pour cela que je veux absolument garantir l’égalité salariale entre les femmes et les hommes.

C’est pour cela que je souhaite faire de l’école le premier terrain de lutte contre les injustices, en supprimant la carte scolaire pour que vous soyez tous libres de choisir l’école de vos enfants, en mettant en place des études dirigées après les cours pour tous ceux qui le veulent, en divisant par deux la taille des classes dans les établissements les plus fragiles.

C’est pour cela que je veux réformer l’enseignement supérieur, pour que plus personne n’entre dans une filière sans avenir et que les meilleures formations soient réellement ouvertes à tous.

C’est pour cela que je veux que chaque Français ait toujours une seconde chance, en donnant à chacun la possibilité de faire des études quand il le souhaite, en réservant en priorité la formation professionnelle aux chômeurs et au moins diplômés, en créant des « écoles de la deuxième chance » pour ceux qui sont sortis sans qualification de l’école.

C’est pour cela que je veux réformer les aides au logement, afin qu’elles soient plus élevées dans le parc privé, où les loyers sont plus chers.

C’est pour cela enfin que je veux garantir la présence du service public et des services au public dans tous les territoires.


Pour télécharger le tract (PDF), cliquez ici


mardi 6 mars 2007

Une agriculture de production et de qualité

A l'occasion du Salon de l'agriculture, découvrez les propositions de Nicolas Sarkozy pour donner des perspectives à nos campagnes, à l'agriculture et à la pêche.

Télécharger le tract

Je veux être le Président d’une France qui défendra une agriculture de production et de qualité.
L’agriculture et les industries agroalimentaires sont un atout majeur de notre économie et de la sécurité alimentaire des consommateurs. Je leur donnerai les moyens d’être toujours plus performantes dans l’intérêt de tous les Français.

Je veux une France forte de toutes ses cultures et de tous ses élevages, de tous ses vins et de tous ses terroirs, de ses produits d’excellence, de ses traditions, de sa réputation mondiale.

Je veux aussi une agriculture durable et une France reconnaissante des actions que les producteurs continueront de fournir en faveur de l’environnement. J’améliorerai les retraites des aînés et je soutiendrai les efforts des jeunes.

J’entends redonner à nos exploitants et à nos salariés agricoles des perspectives claires et une réelle visibilité. J’ai la conviction que c’est du fruit de son travail que l’on doit vivre, c’est pourquoi je veux que des prix rémunérateurs soient la première source de revenus des exploitants. Je veux pour vous la liberté que je veux pour tout entrepreneur : j’agirai donc contre une réglementation complexe et en perpétuel changement. Je veux donner à l’agriculture française les moyens d’exploiter les nouveaux débouchés, notamment les biocarburants.

Je veux être le président d’une France qui anticipe et prépare l’avenir de son agriculture.

Je défendrai pied à pied la PAC et nous préparerons ensemble l’après 2013. Je défendrai le principe de préférence communautaire parce qu’il est la condition de l’indépendance et de la sécurité alimentaires des Français et de tous les Européens, ainsi que de la vitalité de nos campagnes. Notre agriculture aura les moyens d’accroître sa présence sur le marché européen élargi et sur les marchés mondiaux, et pourra s’appuyer sur un ministère de l’agriculture renforcé. Je ne veux pas être le président des jachères et des arrachages.

Avec votre aide, je m’engage à ce que vous retrouviez le goût d’entreprendre et la fierté de votre métier.

Je n’accepte pas que l’on ne vous promette qu’une agriculture sous perfusion et que l’on veuille vous réduire à être des jardiniers ruraux. Vous êtes avant tout une force économique : nos campagnes et la France telles que je les conçois ont besoin de vous.

lundi 5 mars 2007

Energie : le risque du grand bond en arrière

La candidate socialiste a fait de la réduction à 50 % de la part du nucléaire dans la production nationale d'électricité (contre 80% aujourd'hui) l'une des mesures phares de son programme. C'est l'annonce d'un grand bond en arrière qui aura pour conséquences moins d'emplois, moins d'industrie, moins de compétitivité, moins d'indépendance énergétique et plus de pollution.
  • Des suppressions massives d'emplois
    120 000 emplois dépendent aujourd'hui directement et indirectement de la filière nucléaire civile. Ce sont ainsi près de 50 000 emplois qui seraient supprimés si le programme de la candidate du PS devait être mis en oeuvre. Si l'on inclut les familles, ce ne sont pas moins de 150 000 personnes qui subiraient de plein fouet cette « réorientation stratégique ».

  • La casse d'une filière industrielle et technologique d'excellence
    Notre pays est leader mondial dans l'industrie du nucléaire civil. Ce programme de réduction porterait un coup terrible à cette filière d'excellence et à ses principaux fleurons, EDF, Areva et Alsthom. Elle entraînerait de surcroit la fermeture de 15 de nos 58 centrales nucléaires. Et mettrait en cause notre indépendance énergétique.

  • L'explosion programmée des gaz à effets de serre
    L'énergie nucléaire est celle dont la production à grande échelle dégage le moins de gaz à effets de serre, donc contribue le moins au réchauffement climatique. La seule alternative crédible pour remplacer un tel volume de production électrique, c'est le recours au charbon, au gaz et au pétrole. Choisir cette voie, c'est rejeter dans l'atmosphère une quantité supplémentaire de gaz à effets de serre équivalente au parc automobile de la France et de l'Allemagne réunies.

Nicolas Sarkozy, lui, s'est engagé à maintenir et à accroître notre indépendance énergétique et à soutenir les efforts de croissance d'EDF, devenue un acteur majeur de l'énergie.

vendredi 2 mars 2007

Le travail et le pouvoir d'achat

A un peu plus de 50 jours du premier tour du scrutin, il est primordial de relayer encore plus fort les propositions de Nicolas Sarkozy et d'aller à la rencontre de tous les Français pour les convaincre de s'engager et de voter pour Nicolas Sarkozy.

C'est pourquoi, nous organisons ce week-end les samedi 3 et dimanche 4 mars, l'opération
« 48 heures pour qu'ensemble tout devienne possible »
sur le thème : « La valeur travail et le pouvoir d'achat »
Depuis de nombreux mois, Nicolas Sarkozy a placé ce thème au coeur de la campagne présidentielle considérant que nous devions réhabiliter la valeur travail et libérer les énergies pour augmenter le pouvoir d'achat des Français.

Parce que le travail, le mérite, l'effort doivent être encouragés et retrouver toute leur place dans notre société, parce qu'en France le pouvoir d'achat est trop faible, parce que chacun doit pouvoir s'exprimer sur ces thèmes qui sont au coeur des préoccupations des Français, mobilisez-vous ce week-end pour expliquer et défendre les propositions de Nicolas Sarkozy sur ce sujet.

Vous pouvez retrouver l'essentiel de ses propositions sur le travail dans son discours d'Agen le 22 juin 2006 à la « France du travail ».

Deux tracts sont disponibles sur le site des supporters que nous vous invitons à relayer :
- Tract sur le pouvoir d'achat
- Tract sur la valeur travail